mercredi 8 octobre 2008
Qat à Djibouti
Em 1995. C'était une réunion avec le syndicat des bouchers, pour discuter de l'opportunité d'un crédit qui aurait permis l'achat d'un fourgon frigorifique. Réunion dans la salle de prière avec un collègue franco-marocain, qui gère le projet et fait l'interprète - pour ce qu'il peut. On me propose du qat, que je mache avec application. C'est très amer, et servi avec force thé sucré ou coca-cola, au choix. Je bois les deux. Le qat me provoque une visible euphorie. Je sors, après trois bonnes heures de discussion, dans une crise de fou rire et avec une irrésistible envie de faire pipi, des litres de de thé et coca avalés pendant la réunion.
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